Cet article présente de nombreux exemples, du classique (Jacques Martin) au moins classique (Charlie Schlingo) – à lire ! Le lettrage en bande dessinée

Un bon article sur la création de lettrages pour la bd sur le blog les coinceurs de bulles 

Un article de Vincent Rousseau qui a réalisé le lettrage de la traduction française de la genèse de Crumb. Vincent Rousseau a utilisé les styles imbriqués d’InDesign pour réaliser des variations aléatoires des lettres, permettant ainsi une variation dans le lettrage : Dans l’ombre de Crumb

Pour aller dans le sens inverse mais aussi ouvrir le débat, un article de fond magnifique à propos du lettrage : Une Apologie subjective du lettrage manuel

Un bon article de  David Turgeon qui parle notamment de la correspondance des lettrages dans les traductions en BD: Le Dessin dans l’écriture

Interview de Marie Aumont, réalisatrice du lettrage de Blake et Mortimer,  sur le blog de Blake & Mortimer

Une vidéo sur YouTube, Comic Book Lettering & Production, qui montre Sean Glumace, lettreur professionnel de Comic Books

Un article sur le lettrage de Franquin, à l’occasion de l’exposition « Gaston au-delà de Lagaffe » au centre Pompidou.

À ce propos, on trouve sur le site de Speculoos un gigantesque travail sur plusieurs polices de caractère qui reprennent le lettrage de Franquin dans ses albums, en fonction des outils utilisés, puis les polices des couvertures, j’imagine de la main de Pierre Huyghebaert. Une interview à ce sujet.

Speculoos crée des lettrages de Franquin

Sur ce site sont reprises des polices de caractères Open Source qui ont une variabilité des caractères, dont Univers Else. Un logiciel, Fonzie, créé par Pierre Marchand permet également une mise en œuvre de cette variabilité…

Et pour introduire à cette problématique, j’ai écrit un long article intitulé «Création de polices avec variations de lettres : une approche pour rejoindre le lettrage manuel»

Un des plus reconnus des lettreurs professionnels en bandes dessinées s’appelle Tony Neveux et je connaissais déjà son travail pour l’été diabolique de Alexandre Clérisse et Thierry Smolderen. Son site présente ses nombreux lettrages, entre autres celui du tout récent – et exceptionnel – Une rainette en automne de Linnea Sterte.

Jean-François Rey a, quant à lui, travaillé pour plusieurs maisons d’éditions. Une exposition lui a été consacrée en 2020 et cet article en parle.

Mis à jour le 09/03/23